Regrets
Oh, combien de regrets !
Oh, combien de remords !
Habitent mes pensées,
Et mon coeur et mon corps.
Je naurais jamais pu
Un jour imaginer,
Que je serais déçu,
A ce point attristé.
Je regrette ces nuits
Que nous avons passées,
La tendresse inouïe
De nos corps enlacés.
Quand au petit matin
Je méveillais alors,
Mon corps tel un écrin
Enveloppant ton corps,
Mon coeur par la tendresse
Se trouvait enivré,
Et de douces caresses
De mes mains je taimais.
Comment est-il possible
Doublier ces beaux jours,
Quand mon coeur fut la cible
Des flèches de ton amour ?
De ces flèches dargent
Venues du firmament,
Que grâce à la passion
Décochait Cupidon.
Je ne pourrai jamais,
Du fond de mon abîme,
Mon Amour oublier,
Cette passion sublime.