Jamais je n’oublierai

 

Jamais je n’oublierai

Mon trouble et mon émoi,

Quand j’ai reçu de toi,

Le tout premier baiser.

 

Dans ce petit café,

Par un beau soir d’automne,

J’ai senti que j’allais,

Aimer comme personne.

 

Jamais je n’oublierai,

L’effet que tu m’as fait,

Quand j’ai senti ton cœur,

Sur mon cœur appuyé.

 

Mon esprit s’est alors,

Mis à tourbillonner,

La chaleur de ton corps,

Sur mon corps s’amplifiait.

 

Par la fièvre emportées,

Nos lèvres se posaient,

Sans honte et sans tabou

Sur nos corps rendus fous.

 

Et nous nous sommes donnés,

L’un à l’autre sans compter,

Dans une volupté,

Que je n’imaginais.

 

Jamais je n’oublierai,

Cet amour effréné,

Q’avec toi mon aimée,

J’ai un jour partagé.